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CUT - SERIE MANIA #02

Publié le par UniqueMan

L'émission CUT revient une nouvelle fois et dans une nouvelle formule... j'avais abandonné l'idée depuis l'été dernier, trouvant que finalement j'avais franchement pas grand chose à raconter sur les sorties ciné et maintenant, j'éspère pouvoir raconter pas grand chose mais avec un sujet différent à chaque fois et un véritable travail de reportage. Manque de bol, je me suis fait voler ma nouvelle caméra HD qui était super top ainsi que son micro bluetooth et du coup... tout est à refaire. Bordel de nouille de pompe à chien. Voici quand même le "pilote" de cette nouvelle version de CUT qui à pour sujet le Festival Série Mania, deuxième édition!

 

En vous souhaitant un agréable visionnage

 

 


Publié dans CUT

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Mai

Publié le par UniqueMan

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Stone:

 

Priest:

 

The Tree Of Life:

 

Le Gamin au Vélo:

 

Play a Song for Me:

 

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Festival de Cannes à Paname - Journal de Bord - 03

Publié le par UniqueMan

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Du 25 Mai au 5 Juin

 

 

Attention, ce festavil n’est pas un festival comme les autres. Il est purement imaginaire mais contient tout de même quelques fulgurances réelles en rapport avec le Festival de Cannes.

 

 

Vendredi 27 Mai:

Je suis définitivement perdu dans la programmation de la Quinzaine des réalisateurs et celle d’un certain regard. Je retourne le tout dans ma tête et je me dis : demain, sûr, je vais voir un truc ! Pour l’heure, je me retrouve face au néant contemplant dubitativement mes étagères de dvd. Je tourne en rond trois fois, suce un pingouin en plastique et jette un dé au hasard et me lance dans un visionnage successif de films poussifs.

 

Je débute ma croisade brouillonne avec Métal Hurlant (1981), un absurde et transgressif film d’animation narrant à travers différents sketches l’histoire de Loch-Nar, une lumineuse bouboule verte aux pouvoirs machiavéliques ! Parfois drôle et parfois chiant en passant de l’héroic-fantasy à la science-fiction avec une touche d’érotisme et n’oubliant jamais d’être subversif, Métal Hurlant est une œuvre étrange, aussi fulgurante qu’anarchique. Il faut savoir que Métal Hurlant au départ était un magazine français de bande dessinée pour adulte de science-fiction et qu’elle a participé à révéler un grand nombre de dessinateurs tels que Moebius, Druillet, Tardi, Bilal et bien d’autres. Comme souvent, quand une chose a du succès, les américains s’en emparent rapidement et créent à leur tour la revue « Heavy Metal » qui a donc inspiré le film éponyme de Gerald Potterton. Film qui aura une « suite » avec en 1999 Heavy Metal 2000 que je n’ai pas encore eu le loisir de visionner, je suis bien obligé de voir les choses dans l’ordre quand même ! Bref et donc ce film est plutôt cool même si le côté bordélique de la chose est assez perturbant ; mais son côté punk est jubilatoire. Le premier segment est sans doute celui que je préfère, ce côté futur crado dans un style trash de Blade Runner est fort réjouissant.

 

Pour continuer, j’ai un peu raclé les fonds de tiroirs. Je suis tombé sur une pub dans un magazine de ciné qui m’a intriguée. Oui, je suis faible ! C’est comme ça que je me suis retrouvé devant L’île, les naufragés de la terre perdue. Pourquoi est-ce que je me suis infligé ça ? Et surtout pourquoi j’ai regardé ce « film » jusqu’au bout ? Par curiosité et par espoir que le film s’améliore mais non. Rien, jamais, nada, peau de zob ! Déjà, pour annoncer la couleur, c’est une production française, le genre est « aventure / science-fiction » (enfin c’est ce qui est indiqué) et ça sort directement en dvd ! Alors déjà quand en France les films de genre qui dépassent le million d’euro de budget se comptent sur les doigts d’un moignon, imaginez le budget d’un direct-to-video ! Mais l’argent ne fait pas le moine comme disait ma cuillère en plastique hier à 15h tout en ajoutant « si il y a un bon scénario et une bonne mise en scène part rapport au budget accordé, il y a potentiellement un chef-d’œuvre ! ». Perspicace cette cuillère mais ici, malheureusement, rien de tout cela, les acteurs sont très mauvais et totalement oubliés par le metteur en scène. Certains visuels ne sont, contre toute attente, pas si ridicules mais très mal utilisés. Le scénario est vraiment foireux et d’un classique à faire mourir de vieillesse une baleine même si la comparaison ne paraît pas forcément évidente. Dommage, parce-que malgré tout, l’œuvre semble être sincère et avec un tout autre scénario le résultat pourrait être très chouette… mais du coup, ça serait un autre film. Pour finir avec ce machin, je résume en deux mots : Absolument dispensable !

 

Heureusement, j’ai décidé de me rattraper en comblant un manque dans ma culture cinéphilique. Citizen Kane ou Highlander. Je choisis bien entendu le deuxième et hurlant Princes Of The Universe de Queen. Oui, parfois, je ne suis pas sûr de faire les bons choix mais on s’en fou, Orson Welles n’a qu’à bien se tenir, la vengeance est un plat. Là, exactement maintenant, j’ai un doute sur moi même, mon existence absurde et je me dis que ce que j’écris n’a vraiment aucun sens. Mais comme souvent dans ces moments je m’exclame « mais bordel est ce que la vie elle même a vraiment un sens ?» et j’en reviens à mes moutons égarés. Je n’ai pas honte et j’assume, j’ai beaucoup regardé Highlander : la série mais je n’avais pas eu l’occasion de voir les films. Voilà, je répare cette « faute » aujourd’hui avec le premier opus. Premières réactions : «pwaaa» «oh, la vache !» «qu’est ce que c’est cheap» «Lambert est vraiment pathétique… et son rire ? Non ! Mais franchement !» pour terminer sur «c’est vraiment n’importe quoi quand même ! » Qu’est ce que c’est que ce méchant grotesque et caricatural avec un charisme d’huître dans le coma ? Qu’est ce que c’est que ce Christophe Lambert ricanant comme un abrutit qui semble même pas pouvoir tenir son épée à bout de bras ? Mais ne me dites rien, c’est un film des années 80 ? Bon, franchement c’est un peu la grosse déception, j’imaginais pas ça si foireux ! Je pense que ça a sans doute mal vieillit mais globalement c’est assez mauvais. Pour être sûr, je vais devoir regarder les quatre opus. Bon, après, ça reste tout de même une série B de très bonne facture et la classe de Sean Connery relève le niveau. Mais franchement, c’est dur. Je me couche dépité.

 

Demain, juré, je vais voir un film de la sélection Cannoise… mais demain, c’est demain.

Publié dans Festivals

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Festival de Cannes à Paname - Journal de Bord - 02

Publié le par UniqueMan

Du 25 Mai au 5 Juin


 

Attention, ce festavil n’est pas un festival comme les autres. Il est purement imaginaire mais contient tout de même quelques fulgurances réelles en rapport avec le Festival de Cannes.


Jeudi 26 Mai:

Je me suis calmé et j’ai décidé d’arrêter de violenter des jeunes femmes pour des futilités.

 

C‘est loin d’être une nouveauté, mais je n’avais pas vu ce très beau film qu’est Toto le héros de Jaco Van Dormael. Comme beaucoup j’ai découvert ce cinéaste grâce à son Huitième jour qui a connu un fort succès à l’époque (1996) et qui a été largement diffusé sur les chaînes hertziennes. Mais si, souvenez vous, l’histoire d’un homme (Harry – Daniel Auteuil) qui travaille sans relâche sept jours sur sept à qui la vie va basculer lorsqu’il fera la rencontre d’un mongolien (Georges – Pascal Duquenne). Un film très fort et émouvant. En 2010 Jaco se lance avec Mr. Nobody dans le drame fantastique avec une touche de science-fiction ! L’histoire d’un homme qui n’arrive pas à faire des choix et qui a l’étrange faculté de vivre toute les possibilités qui s’offrent à lui ! Bouleversant, poétique et visuellement incroyable!

 

Certains trouveront sans doute un problème de lenteur mais ce film est inclassable et tellement différent des productions actuelles que ça en fait un véritable coup de boule de fraîcheur ! Je ne sais pas tellement si ça veut dire quelque chose, mais en tout cas j’ai adoré et j’ai eu bien tord de penser que c’était la première fois que Dormael mettait les pieds dans la fantastique ! Car son premier film Toto, le héros que j’ai trouvé dans une édition sympathique au cinéma Mk2 Bibliothèque moyennant une somme raisonnable pose déjà toute les bases de Mr. Nobody, les doutes, les choix, vivre à travers les autres, l’amour, et puis encore des choses mais je ne suis pas là pour pousser une analyse sur l’Jaco, d’ailleurs, qu’est ce que je fais là finalement ? Je parle en écrivant du cinéma qui me passionne, parce-que pour le coup, Toto, le héros est véritablement mon coup de cœur du moment et je vous invite chaudement à le visionner ! Et du coup, j’ai oublié de vous dire de quoi parle le film… Voilà, j’ai encore foiré, j’arrive pas à faire un article qui tient debout, mais est-ce vraiment ça le but d’un article ? Tenir debout ? Chut, chut ! Concentration… Toto, « C’est l’histoire d’un type à qui il n’est jamais rien arrivé » nous dit le prologue. Il faut l’avouer, cela n’a rien de très engageant et avec un nom de film pareil ; finalement ce n’est pas tellement une superbe opération marketing ! Bizarrement, c’est justement ça qui à attiré mon attention et parfois, je me remercie d’être curieux et d’avoir si bon goût. Oui bon, je dégonfle mes chevilles et j’enchaîne. C’est donc l’histoire d’un type, Thomas, un vieillard obsédé par le fait d’avoir loupé sa vie et qui est persuadé qu’il a été échangé à sa naissance et qu’il n’a donc pas vécu la vie qu’il devait vivre. A travers plusieurs âges (enfant/adulte/vieillard) nous suivons l’obstination du héros à « usurper » la vie de son voisin d’enfance avec qui il a, selon lui, été échangé. Cette quête aussi improbable qu’acharné frôle la folie douce et l’histoire à coucher dehors. C’est un film très sensible qui pose beaucoup de question sur l’identité, un film où son personnage principal navigue entre rêve, fantasme et réalité et nous plongeant avec lui dans les abîmes parfois grotesque, parfois féérique ou dramatique de sa vie abracadabrantesque. Merveilleux et touchant.

Demain, du métal immortel qui hurle sur une île est au programme, j’ai peur, je vibre… mais demain, c’est demain.

Publié dans Festivals

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Festival de Cannes à Paname - Journal de Bord - 01

Publié le par UniqueMan

 

Du 25 Mai au 5 Juin


Attention, ce festavil n’est pas un festival comme les autres. Il est purement imaginaire mais contient tout de même quelques fulgurances réelles en rapport avec le Festival de Cannes.

 

A quelques mètres de la croisette (906 000 environ), dans les salles obscures Parisiennes s’organise un putsch ! Quelques jours à peine après la clôture chic du Festival de Cannes et l’annonce de son Palmarès, le Forum des Images et le cinéma Reflet Medicis projettent rétrospectivement l’intégralité de la sélection de la Quinzaine des Réalisateurs et celle d’Un Certain Regard.

 

Pas plus farouche qu’une lapinette au printemps, je me lance à la découverte des films qui ont fait vibrer le 64ème Festival Palmipède. Mon chemin est comme d’habitude juché d’embuches et aussi rocambolesque que le voyage de Don Quichotte ! Je vous propose une retranscription de mon journal de bord que j’écris d’habitude sur des menhirs…

 

Mercredi 25 Mai :

Il fait chaud, le soleil brille, l’analogie avec la croisette est troublante mais les relents d’égouts, de métro et de pot d’échappement me font très vite déchanter. Je suis bien à Paris, je suis enfermé et je suis au boulot. Je consulte brièvement la programmation en lâchant des « oooh » « aaaaaah » « qui donc? » oui, je dois bien vous l’avouer très peu de films m’évoquent quelque chose. Je tourne en rond et je râle parce-que de toute façon, je ne peux voir les films qu’aux projections de 22h. Je chante et, je retourne au turbin. 21H, il fait toujours beau mais je suis dépité car je n’ai pas le courage de me speeder la tête pour assister à un drame australien sur un jeune aborigène qui rêve de devenir gangster ! Là, je me dis, c’est con, mais de toute façon, je ne vais pas pouvoir voir tous ces films… à mon grand regret… mais au niveau du planning et financièrement, ce n’est pas du tout jouable. Alors, merde, ce festival, je vais me le faire à ma façon et avec mes possibilités ! C’est un festival de cinéma non ? Bon alors place au ciné !

Je rentre chez moi et sur le chemin j’attaque une jeune femme pour lui voler son sac ; coup de chance, à l’intérieur se trouve un dvd ! Je lui explique qu’il ne faut pas qu’elle s’inquiète, que c’est pour le festival. Bizarrement elle me regarde partir avec un regard vide en ayant l’air hébétée. (Bordel, synthétique, on ta dit de faire synthétique !!!) ça va je raconte !

Je suis chez moi et je regarde donc le dvd de 8 Fois Debout, un très beau film de Xabi Molia sur une femme qui galère pour trouver du travail. Une femme qui est malheureusement loin d’être un cas isolé, car nom de dieu, aujourd’hui pour bosser faut vraiment s’accrocher. Du coup, je suis déprimé. (Bon, là, tu abuses… tu écris tes tonnes de trucs sur du vent et quand tu parles de cinoche, ça tient sur deux lignes, moi je dis, foutage de gueule !). Et moi je dis merde et à demain, ça sera mieux!

 

A SUIVRE...

Publié dans Festivals

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