Revenons au cinéma, ma quête, ma bataille, ma marotte... Fin septembre 2015, dans la "station fantôme" du métro parisien se tournait la bande annonce de la onzième édition du festival Paris Courts Devant. Avec ma petite caméra, je me suis plongé dans l'ambiance du tournage en essayant de capter quelques petits souvenirs fugaces. Quelques heures de montage et plusieurs mois après, je vous montre ce petit making-of palpitant ou l'espace et le sous-terrain ne font qu'un. Bon visionnage.

Vous pouvez visionner la bande annonce du festival juste en dessous. (Si bien sûr vous en avez envie, c'est juste une indication, vous faites bien comme vous voulez après tout, je ne peux pas vous forcer la main, ce serait inapproprié et de toute façon absolument impossible alors je vais arrêter cette phrase car elle empile les mots pour ne rien dire d'essentiel, ni rien de pertinent. Voilà. C'est bon j'arrête. Juste un dernier mot. Tralala. Merci. Oups, j'ai débordé, ça fait plus qu'un mot, excusez moi, j'ai tendance à faire long pour rien. Vraiment, je m'en excuse, je ne voulez pas monopoliser votre temps de manière si puérile et inutile, retournez à vos saines occupations et à très vite pour de nouvelles informations passionnantes.)

Les sonorités se bousculent, le kaléidoscope change, le champ des possibilités se réduit mais je perdure, insiste, prolonge l’expérience. Jusqu'où pouvons nous aller avec cette application et un visuel psychédélique ? La réponse se dessinera petit à petit, au fil des semaines. Pig Hi-Tech, troisième tentative d’exploration :