Mars
Saint Amour :
Solange et les vivants :
10 Cloverfield Lane :
Evolution :
Jodorowsky's Dune :
Brooklyn :
Midnight Special :
Des nouvelles de la planète Mars :
In Jackson Heights :
Rosalie Blum :
Five :
Le Sanctuaire :
Un blog qui raconte ma vie, mes expériences dans le monde de l'audiovisuel et ma passion pour le cinéma...
Jusqu'où aller ? Quand faut-il s'arrêter ? Faut-il s'acharner ? Dans tous les cas, ne jamais se prendre au sérieux et voir où tout cela nous mène. Sans doute nulle part. Mais pourquoi faudrait-il faire des choses pertinentes qui nous font avancer ? Pourquoi faudrait-il que tout ce brouhaha m'apporte quelque chose ? Puis, toute chose nous fait avancer ? N'est-il pas ? Quoi qu'il en soit, je prolonge l’expérience jusqu'à son épuisement. Où au moins, mon épuisement. C'est dit. C'est annoncé. Vous en aurez donc pour au moins une dizaine de vidéo musicolol-kaléido-pad-machine. Dernière tentative. Homesickness qui nous rapproche de la terre, de nos origines, nos racines, nos souvenirs et de nos intestins :
Hommage à ce cher Jean-Luc Godard et son film Le Mépris, l'affiche jaune pisse du 69e Festival de Cannes se dévoile. C'est quoi ce vieux filtre jaune ? La photo d'origine est pourtant belle, pourquoi ajouter cette dominance verdâtre, jaunasse. Peut-être qu'avec le temps nous allons nous y faire (ou pas). En espérant que ça n'inspire pas les étalonneurs.
Montrer la nudité est une chose... Nous sommes en 2016 et elle ne choque plus personne mais est-elle pourtant justifiée ? Ou, à l'instar des "chasseurs" du film Naked de Laurent Pratlong, doit-on en avoir peur ? Je ne vais pas jouer ma jeune fille effarouchée mais parfois je me pose la question. Je me pose ces questions. A partir de quel moment, un réalisateur veut vraiment délivrer un message ou tout simplement se rincer l’œil ? Par exemple, Laurent Pratlong est connu pour avoir réalisé un documentaire sur le Cut Killer Show (>>visible ici<<) en 2005 et plus récemment en 2013, une série de photo de Pole Dance dans la rue. Le reste de son oeuvre audiovisuelle semble se résumer à des publicités, plutôt très esthétiques. Attention, ce n'est pas du tout une critique ou une attaque quelconque de ma part. Juste un constat, ce monsieur ne semble pas être particulièrement engagé alors que pourtant ce petit film de 4 minutes l'est beaucoup plus, ou en tout cas semble l'être. Pêché originel ? Pourquoi une jeune fille nue affole encore les gens aujourd'hui alors qu'il y'a rien de plus naturel (?). Ou est-ce une simple justification pour se donner bonne conscience et filmer en slow motion une jeune fille ? Au moins, si le film peut ouvrir le débat sur le sujet c'est déjà beaucoup. Le travail sur l'image est en tout cas remarquables et sa symboliques très forte. A vous de juger...